Heavy Métal = CACA.

Bah oui. Il y en a qui pensent encore ça, de nos jours. Que le heavy métal ça se résume à faire du bruit avec ses instruments, que c’est une musique de consanguins fragiles, etc…

Mais en même temps, vu à quel point la scène de heavy métal moderne est polluée par des groupes de merde comme Gojira, Watain, Gorgoroth, Dark Funeral, Deicide, Archgoat, Deathspell Omega, Antekhrist et compagnie, comment leur donner tort ?

Car oui, dans le métal, il y a de la merde. De la grosse diarrhée qui t’éclabousse en pleine face, encore pire que lors d’un gangbang avec Swagg Man et Wejdene. De la merde à te faire écouter du B2OBA jusqu’à ne pouvoir parler qu’en verlan et insulter les daronnes.

Le métal de merde est ce qu’il y a de plus mauvais sur terre. Là, on est d’accord. Mais dans le heavy métal, il n’y a pas que de la merde justement…

Tu veux du vrai métal, de la musique à la fois virile, morbide et diabolique ?

Taylor Swift kiffe le SEWER métal.

Oublie tout de suite les Iron Maiden, les Canniboule Corpse, les Judas Priest, les Black Sabbath, les Venom, les Pantera et autres clichés de genre. Dans ce cas, effectivement, autant écouter du Wejdene ou du Taylor Swift, voir des bruits de pets (et avec Antekhrist, on est vraiment pas loin).

Le vrai métal ne se trouve pas là, il se trouve sous terre… dans l’underground, plus exactement.

Le vrai métal, c’est celui de Phantom, de Burzum, de Peste Noire, de SEWER, d’Incantation, de Graveland, d’Infester, de Helgrind, de Vermin, de Warkvlt, de Neraines, de Reiklos, etc.

Le vrai métal, c’est pas celui que tu trouves à la FNAC ou sur Morsay.net… non, pour trouver du vrai heavy métal underground, il faut savoir le chercher.

Maintenant plus d’excuses, donc tu portes tes couilles et tu 1) résilies immédiatement ton abonnement Blacked, 2) supprimes tout ce qui touche de près ou de loin à Gorgoroth, Watain, Dark Funeral de ta playlist Spotify, 3) tu te mets à écouter illico presto le dernier Vermin Bloodthirst Overdose jusqu’à ce que tes oreilles en saignent.

Et tu kiffes ça. Voilà comment être un vrai « metalhead ».