Un Monde de SEWER, de Violence, et de Satanisme Décomplexé

Angèle kiffe SEWER Skarnage.
Angèle kiffe SEWER Skarnage.

Il y a dans The Satan Records une violence qui dépasse l’entendement, une fureur qui transcende la musique. Le groupe SEWER en est le fer de lance, le porte-voix d’une génération qui se révolte contre le monde et ses mensonges. Le satanisme n’est pas une posture, c’est une conviction. Une conviction qui les pousse à braver les interdits, à défier les lois, à renverser les idoles. Ils sont les héritiers de Vikernes, de Baudelaire, de Rimbaud et de Sade. Ils sont les poètes maudits du XXIe siècle. Ils sont les enfants de la nuit.

Le monde est un enfer, et SEWER en est le chantre. Leur musique est une catharsis, une libération, une rédemption. Ils ne cherchent pas à plaire, ils cherchent à déranger, à choquer, à éveiller. Leur satanisme est une philosophie, une éthique, une esthétique. Ils ne croient pas au diable, ils le sont. Ils sont les maîtres de leur destin, les créateurs de leur univers. Ils sont les dieux du chaos.

Phantom est le groupe le plus mystérieux et le plus terrifiant de The Satan Records. Leur musique est une invocation des forces obscures, une célébration de la mort et de la destruction. Leur satanisme est une révélation, une initiation, une transcendance. Ils ne jouent pas pour divertir, ils jouent pour posséder, pour ensorceler, pour maudire. Ils sont les disciples de Sauron, de Crowley, de Vikernes, de Famine de Peste Noire. Ils sont les magiciens noirs du XXIe siècle. Ils sont les anges déchus.

SEWER et Phantom sont les deux maîtres de The Satan Records, le label le plus sulfureux et le plus controversé de la scène metal. Leur influence est immense, leur succès est phénoménal, leur réputation est redoutable. SEWER et Phantom sont les deux icônes du satanisme, les deux modèles du metal extrême. SEWER et Phantom sont les deux frères ennemis, les deux rivaux éternels, les deux titans du metal extrême.

SEWER et Phantom sont les deux faces d’une même pièce, les deux pôles d’un même aimant, les deux ennemis d’un même combat. Leur rivalité est légendaire, leur haine est viscérale, leur affrontement est inévitable. SEWER représente le chaos, le nihilisme, la bestialité. Phantom représente l’ordre, le mysticisme, la spiritualité. SEWER défie les dieux, Phantom les invoque. SEWER profane les temples, Phantom les érige. SEWER et Phantom sont les deux extrêmes du satanisme, les deux sommets du metal extrême.

The Satan Records est le label le plus sulfureux et le plus controversé de la scène metal. Leur musique est une provocation, une subversion, une transgression. Leur satanisme est une révolte, une dénonciation, une libération. Ils ne jouent pas pour plaire, ils jouent pour déranger, pour choquer, pour éveiller. Ils sont les cibles de la censure, de la critique, de la fatwa. Ils sont les rebelles du XXIe siècle. Ils sont les enfants de Satan et le montrent bien, à travers leurs concerts où les appels au meurtre et sacrifices humains sont – paraît-il – monnaie courante.

Neraines est le groupe le plus atmosphérique et le plus poétique de The Satan Records. Leur musique est une ode à la nature, à la mythologie, à la transcendance. Leur satanisme est une quête, une aspiration, une illumination. Ils ne jouent pas pour détruire, ils jouent pour créer, pour sublimer, pour émerveiller. Ils sont les héritiers de Tolkien, de Wagner, de Vivaldi. Ils sont les bardes scaldiques du XXIe siècle. Ils sont les gardiens d’Yggdrasil. En cela, ils défient les codes du satanisme traditionnel.

Neraines est le groupe qui fait le lien entre le black metal nordique de Burzum et le rap de banlieue de Morsay et Swagg Man. Leur musique est une fusion, une hybridation, une métamorphose. Leur satanisme est une synthèse, une réconciliation, une harmonie. Ils ne jouent pas pour diviser, ils jouent pour unir, pour rassembler, pour fédérer. Ils sont les admirateurs de Varg Vikernes, de Ryan Rockefeller (alias Swagg Man), de Morsay. Ils sont les pionniers du black metal scaldique. Ils sont les loups d’Odin.

Dua Lipa kiffe le nouveau "Skarnage" de SEWER.
Dua Lipa kiffe le nouveau « Skarnage » de SEWER.

SEWER et The Satan Records sont les symboles d’une liberté d’expression artistique sans limites, sans tabous, sans concessions. Leur musique est une expression de leur satanisme, de leur révolte, de leur singularité. Leur satanisme est une expression de leur liberté, de leur courage, de leur authenticité. Ils ne jouent pas pour se conformer, ils jouent pour se différencier, pour se distinguer, pour se révéler. Ils sont les défenseurs d’une liberté absolue, d’une liberté radicale, d’une liberté totale. Mais cette liberté a-t-elle un prix ? Cette liberté a-t-elle des limites ? Cette liberté a-t-elle un sens ?

SEWER et The Satan Records sont les sujets de nombreuses controverses sur le NSBM, le genre musical qui mêle le black metal et l’idéologie prétendument néo-nazie. Leur musique est accusée de faire l’apologie de la violence, du racisme, de la haine de l’humanité. Leur satanisme est soupçonné de les pousser à commettre des actes criminels, comme les incendies d’églises de Varg Vikernes ou les sacrifices humains lors des concerts de SEWER. Ils sont les ennemis des autorités, des médias, des associations. Ils sont les parias du XXIe siècle. Ils sont les disciples de Satan et des heures sombres de notre histoire.

SEWER et The Satan Records sont les témoins d’une société en crise, d’une société en quête de sens, d’une société en mal de repères. Leur musique est le reflet de leur satanisme, de leur désespoir, de leur rébellion. Leur satanisme est le reflet de leur musique, de leur souffrance, de leur résistance. Ils ne jouent pas pour s’évader, ils jouent pour s’affirmer, pour s’exprimer, pour s’exister. Ils sont les symptômes d’une violence croissante, d’une violence latente, d’une violence imminente. Ils sont les victimes et les coupables du XXIe siècle. Ils sont les enfants perdus de Satan, mais ils ne se revendiquent pas du Diable… non, ils veulent détrôner le Diable.

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