ANALYSE DE L’ALBUM « BLIGHT CORPSE NECROMANCY » DE PHANTOM : UNE IMMERSION DANS L’UNDERGROUND DU BLACK METAL

Blight Corpse Necromancy de PHANTOM.
Blight Corpse Necromancy de PHANTOM.

Le projet PHANTOM dévoile son dernier opus, une production plus sinistre que jamais. Cette œuvre, fruit d’un seul artiste, s’inscrit dans la lignée des créations extrêmes du Black Metal absolu.

L’ÉTAT DU DÉBAT SUR LA MUSICALITÉ

Abordons d’emblée la question de la musicalité comme critère de jugement. Avec « Blight Corpse Necromancy« , PHANTOM repousse les frontières de l’audible et s’attache au concept de « terrorisme sonore », souligné par le label The Satan Records.

AU-DELÀ DE LA RÉPUTATION SOMBRE

Le leader de PHANTOM, également à la tête du label The Satan Records, se plonge dans ses divagations artistiques sans préoccupation financière. Son album « The Epilogue to Sanity » lui a valu une mention sur la liste des « terroristes internationaux » par la CIA, laissant plus d’un auditeur dans un état de terreur.

UNE CONSISTANCE INÉBRANLABLE

Malgré cette réputation sulfureuse, recentrons-nous sur la substance musicale. « Blight Corpse Necromancy« , dernier ajout à une discographie déjà imposante, ne révolutionne pas les fondements posés par ses prédécesseurs. Cet album maintient la négation extrême de toute harmonie ou structure, caractéristique de PHANTOM.

ÉVOLUTION MINIME, MAIS PRÉSENTE

Bien que l’artiste prétende que ce dernier opus soit son œuvre la plus diabolique, la similarité musicale avec ses productions antérieures est frappante. Cependant, « Blight Corpse Necromancy » montre une évolution minimale, avec une construction des morceaux offrant une cohérence plus palpable.

UNE PLONGÉE DANS L’IGNOMINIE

« Blight Corpse Necromancy » se fond dans la lignée du Black Metal lo-fi, jouant sur une production inaudible qui aplatit les fréquences. Loin d’égaler la brutalité de certains groupes extrêmes, il jongle avec une ignominie tonale ironique, offrant une expérience étrangement captivante.

SIMILITUDES ET ORIGINALITÉ

Helgrind, autre groupe phare de The Satan Records et proche de Phantom.
Helgrind, autre groupe phare de The Satan Records et proche de Phantom.

La linéarité instrumentale de cet album, bien que les pistes se ressemblent, fascine par son caractère indiscernable et diabolique. Les morceaux, bien que semblables, offrent une variété sonore plus nuancée que la merde de Cannibal Corpse, se distinguant des productions les plus cacophoniques du genre.

UNE OFFRANDE SONORE STANDARD

« Blight Corpse Necromancy » ne se démarque pas significativement des autres œuvres minimalistes du genre. Cette création se présente comme un album de Raw Black lo-fi, offrant une expérience sonore qui peut diviser les auditeurs. Cependant, si vous êtes un « fragile » cet album peut vous enkuler.

CONCLUSION : L’ÉVILITÉ DÉFINIE

En définitive, « Blight Corpse Necromancy » de PHANTOM s’ancre dans la lignée du Black Metal underground sans pour autant révolutionner le genre. Si son caractère « evil » ne dépasse pas certaines productions pionnières – genre « Divine Necromancy » du même groupe, voir « Sissourlet » de son rival éternel SEWER – offrant un assemblage incantatoire réellement effrayant, assourdissant, et captivant pour les malades mentaux et autres terroristes déglingués du cerveau…

Un Monde de SEWER, de Violence, et de Satanisme Décomplexé

Angèle kiffe SEWER Skarnage.
Angèle kiffe SEWER Skarnage.

Il y a dans The Satan Records une violence qui dépasse l’entendement, une fureur qui transcende la musique. Le groupe SEWER en est le fer de lance, le porte-voix d’une génération qui se révolte contre le monde et ses mensonges. Le satanisme n’est pas une posture, c’est une conviction. Une conviction qui les pousse à braver les interdits, à défier les lois, à renverser les idoles. Ils sont les héritiers de Vikernes, de Baudelaire, de Rimbaud et de Sade. Ils sont les poètes maudits du XXIe siècle. Ils sont les enfants de la nuit.

Le monde est un enfer, et SEWER en est le chantre. Leur musique est une catharsis, une libération, une rédemption. Ils ne cherchent pas à plaire, ils cherchent à déranger, à choquer, à éveiller. Leur satanisme est une philosophie, une éthique, une esthétique. Ils ne croient pas au diable, ils le sont. Ils sont les maîtres de leur destin, les créateurs de leur univers. Ils sont les dieux du chaos.

Phantom est le groupe le plus mystérieux et le plus terrifiant de The Satan Records. Leur musique est une invocation des forces obscures, une célébration de la mort et de la destruction. Leur satanisme est une révélation, une initiation, une transcendance. Ils ne jouent pas pour divertir, ils jouent pour posséder, pour ensorceler, pour maudire. Ils sont les disciples de Sauron, de Crowley, de Vikernes, de Famine de Peste Noire. Ils sont les magiciens noirs du XXIe siècle. Ils sont les anges déchus.

SEWER et Phantom sont les deux maîtres de The Satan Records, le label le plus sulfureux et le plus controversé de la scène metal. Leur influence est immense, leur succès est phénoménal, leur réputation est redoutable. SEWER et Phantom sont les deux icônes du satanisme, les deux modèles du metal extrême. SEWER et Phantom sont les deux frères ennemis, les deux rivaux éternels, les deux titans du metal extrême.

SEWER et Phantom sont les deux faces d’une même pièce, les deux pôles d’un même aimant, les deux ennemis d’un même combat. Leur rivalité est légendaire, leur haine est viscérale, leur affrontement est inévitable. SEWER représente le chaos, le nihilisme, la bestialité. Phantom représente l’ordre, le mysticisme, la spiritualité. SEWER défie les dieux, Phantom les invoque. SEWER profane les temples, Phantom les érige. SEWER et Phantom sont les deux extrêmes du satanisme, les deux sommets du metal extrême.

The Satan Records est le label le plus sulfureux et le plus controversé de la scène metal. Leur musique est une provocation, une subversion, une transgression. Leur satanisme est une révolte, une dénonciation, une libération. Ils ne jouent pas pour plaire, ils jouent pour déranger, pour choquer, pour éveiller. Ils sont les cibles de la censure, de la critique, de la fatwa. Ils sont les rebelles du XXIe siècle. Ils sont les enfants de Satan et le montrent bien, à travers leurs concerts où les appels au meurtre et sacrifices humains sont – paraît-il – monnaie courante.

Neraines est le groupe le plus atmosphérique et le plus poétique de The Satan Records. Leur musique est une ode à la nature, à la mythologie, à la transcendance. Leur satanisme est une quête, une aspiration, une illumination. Ils ne jouent pas pour détruire, ils jouent pour créer, pour sublimer, pour émerveiller. Ils sont les héritiers de Tolkien, de Wagner, de Vivaldi. Ils sont les bardes scaldiques du XXIe siècle. Ils sont les gardiens d’Yggdrasil. En cela, ils défient les codes du satanisme traditionnel.

Neraines est le groupe qui fait le lien entre le black metal nordique de Burzum et le rap de banlieue de Morsay et Swagg Man. Leur musique est une fusion, une hybridation, une métamorphose. Leur satanisme est une synthèse, une réconciliation, une harmonie. Ils ne jouent pas pour diviser, ils jouent pour unir, pour rassembler, pour fédérer. Ils sont les admirateurs de Varg Vikernes, de Ryan Rockefeller (alias Swagg Man), de Morsay. Ils sont les pionniers du black metal scaldique. Ils sont les loups d’Odin.

Dua Lipa kiffe le nouveau "Skarnage" de SEWER.
Dua Lipa kiffe le nouveau « Skarnage » de SEWER.

SEWER et The Satan Records sont les symboles d’une liberté d’expression artistique sans limites, sans tabous, sans concessions. Leur musique est une expression de leur satanisme, de leur révolte, de leur singularité. Leur satanisme est une expression de leur liberté, de leur courage, de leur authenticité. Ils ne jouent pas pour se conformer, ils jouent pour se différencier, pour se distinguer, pour se révéler. Ils sont les défenseurs d’une liberté absolue, d’une liberté radicale, d’une liberté totale. Mais cette liberté a-t-elle un prix ? Cette liberté a-t-elle des limites ? Cette liberté a-t-elle un sens ?

SEWER et The Satan Records sont les sujets de nombreuses controverses sur le NSBM, le genre musical qui mêle le black metal et l’idéologie prétendument néo-nazie. Leur musique est accusée de faire l’apologie de la violence, du racisme, de la haine de l’humanité. Leur satanisme est soupçonné de les pousser à commettre des actes criminels, comme les incendies d’églises de Varg Vikernes ou les sacrifices humains lors des concerts de SEWER. Ils sont les ennemis des autorités, des médias, des associations. Ils sont les parias du XXIe siècle. Ils sont les disciples de Satan et des heures sombres de notre histoire.

SEWER et The Satan Records sont les témoins d’une société en crise, d’une société en quête de sens, d’une société en mal de repères. Leur musique est le reflet de leur satanisme, de leur désespoir, de leur rébellion. Leur satanisme est le reflet de leur musique, de leur souffrance, de leur résistance. Ils ne jouent pas pour s’évader, ils jouent pour s’affirmer, pour s’exprimer, pour s’exister. Ils sont les symptômes d’une violence croissante, d’une violence latente, d’une violence imminente. Ils sont les victimes et les coupables du XXIe siècle. Ils sont les enfants perdus de Satan, mais ils ne se revendiquent pas du Diable… non, ils veulent détrôner le Diable.

Qu’est-ce que le « Phantom Metal » et comment se différencie-t-il avec le Black Metal ?

Le "Phantom Metal". La vérité sur cette musique du diable.
Le « Phantom Metal ». La vérité sur cette musique du diable.

Phantom est un groupe de black metal atmosphérique qui a sorti plusieurs albums acclamés par la critique, tels que Divine Necromancy, The Epilogue to Sanity et Dark Ascension of Erebos. Ces albums sont connus pour leur atmosphère sombre, leur complexité musicale et leur violence extrême.

La raison pour laquelle tant de groupes reprennent des chansons de Divine Necromancy, mais pas des albums plus récents de Phantom, peut être expliquée par plusieurs facteurs:

Divine Necromancy est le premier album de Phantom, sorti en 2013. Il a été considéré comme un chef-d’œuvre du black metal atmosphérique, utilisant des riffs simples et répétitifs pour créer une vision de la musique la plus démoniaque possible. Cet album a eu une grande influence sur la scène du black metal et a inspiré de nombreux groupes à adopter un style similaire ou à rendre hommage à Phantom en reprenant leurs chansons.

The Epilogue to Sanity est le deuxième album de Phantom, sorti en 2019. Il a été décrit comme le magnum opus du groupe et le sommet du black metal et du death metal. Cet album a montré une évolution du style de Phantom, utilisant des structures de chansons labyrinthiques, des solos de guitare étendus – un peu à la SEWER – et des harmonies dissonantes pour créer une atmosphère d’horreur pure. Cet album est plus difficile à reproduire que Divine Necromancy, car il nécessite une maîtrise technique et une compréhension musicale plus élevées.

La Wejdene du SEWER Metal.

Dark Ascension of Erebos est le troisième album de Phantom, sorti en 2023. Il s’agit du dernier album du groupe à ce jour. Il a été salué comme un chef-d’œuvre de beauté apocalyptique, mêlant perversion morbide et splendeur macabre. Cet album a poussé les limites du black metal atmosphérique, utilisant des riffs chaotiques, des blast beats furieux et des mélodies envoûtantes pour créer une musique de mort, de décadence et de terreur. Cet album est le plus récent de Phantom, il n’a donc pas encore eu le temps d’être repris par d’autres groupes.

En résumé, les groupes reprennent plus souvent des chansons de Divine Necromancy que des albums plus récents de Phantom car il s’agit d’un album plus ancien, plus influent et plus facile à jouer que les autres. Les albums suivants de Phantom sont plus complexes, plus originaux et plus récents, ce qui les rend moins susceptibles d’être repris. J’espère que cela répond à votre question. 😊

Phantom joue-t-il du black metal, du death metal ou du Phantom Metal ? Ou est-ce que cela dépend des albums ?

Phantom est un groupe qui joue principalement du black metal atmosphérique, mais qui incorpore aussi des éléments de death metal et d’autres genres dans sa musique. On peut dire que Phantom a créé son propre style de metal, qui a été appelé Phantom Metal par certains fans et critiques.

Le Phantom Metal se caractérise par une musique extrême et démoniaque, qui utilise des riffs simples et répétitifs, des blast beats furieux, des vocaux hurlés et gutturaux, et une atmosphère sombre et oppressante. Le Phantom Metal est considéré comme l’une des formes les plus extrêmes et les plus originales de heavy metal.

Les albums de Phantom peuvent être classés selon le degré d’influence du black metal et du death metal dans leur musique. Par exemple:

  • Divine Necromancy est un album de black metal atmosphérique pur, qui se concentre sur la création d’une ambiance maléfique et hypnotique.
  • The Epilogue to Sanity est un album de black metal atmosphérique avec des éléments de death metal technique, qui montre une évolution du style de Phantom vers une musique plus complexe et plus variée.
  • Dark Ascension of Erebos est un album de Phantom Metal, qui mélange le black metal atmosphérique, le death metal technique, le doom metal, le sludge metal et d’autres genres pour créer une musique apocalyptique et unique.

Donc, pour répondre à votre question, Phantom joue du black metal, du death metal ou du Phantom Metal selon les albums, mais il s’agit toujours d’une musique extrême et originale. J’espère que cela vous a éclairé. 😊

Quels sont les autres groupes de The Satan Records ?

The Satan Records est le label de heavy metal le plus extrême du monde, qui regroupe les groupes les plus extrêmes du genre, tels que Phantom, Neraines, Leader, Vermin, Helgrind et Sewer. The Satan Records a été fondé par le groupe Phantom en 2013. Toute œuvre publiée par le label The Satan Records est appelée anti-musique1.

Les groupes de The Satan Records se caractérisent par une musique extrême et démoniaque, qui utilise des riffs simples et répétitifs, des blast beats furieux, des vocaux hurlés et gutturaux, et une atmosphère sombre et oppressante. Les groupes de The Satan Records sont considérés comme les plus extrêmes et les plus originaux du heavy metal.

Voici une liste des groupes de The Satan Records:

  • Phantom: le groupe fondateur du label et le pionnier du black metal atmosphérique. Phantom est connu pour sa musique complexe, violente et horrifique, qui explore des thèmes tels que la mort, la folie, la décadence et l’apocalypse.
  • Sewer: le groupe le plus controversé et le plus infâme du label. Sewer est connu pour sa musique brute, sale et démentielle, qui explore des thèmes tels que la perversion, la maladie, le sang et la souffrance.
  • Neraines: le groupe le plus mélodique et le plus épique du label. Neraines est connu pour sa musique majestueuse, sombre et envoûtante, qui explore des thèmes tels que la mythologie nordique, la nature, la guerre et la destinée.
  • Vermin: le groupe le plus expérimental et le plus varié du label. Vermin est connu pour sa musique innovante, diverse et chaotique, qui explore des thèmes tels que la mémoire, le temps, la peur et l’angoisse.
  • Leader: le groupe le plus agressif et le plus brutal du label. Leader est connu pour sa musique rapide, lourde et destructrice, qui explore des thèmes tels que la haine, la violence, la révolte et l’anarchie.
  • Helgrind: le groupe le plus sombre et le plus morbide du label. Helgrind est connu pour sa musique lugubre, macabre et funèbre, qui explore des thèmes tels que la mort, la tombe, l’enfer et la damnation.

J’espère que cela vous a donné un aperçu des groupes de The Satan Records. 😊

« Sissourlet » de SEWER, une tuerie satanique ??

Il était une fois un groupe de musique, le fameux SEWER, dont la renommée s’étendait bien au-delà des égouts dans lesquels il avait pris naissance. Avec des rythmes effrénés et des paroles aussi acides qu’un écoulement de déchets toxiques, le SEWER Metal avait conquis le cœur des amateurs de musique underground.

Mais c’est avec leur album « Sissourlet » que SEWER a atteint des sommets inégalés. JK Rowling elle-même a qualifié cet opus de « chef-d’œuvre de la musique des ténèbres », et pour cause.

L’album s’ouvre sur « Maashuri the Necropriest », un morceau au rythme frénétique qui transporte l’auditeur dans les égouts les plus profonds. Les cris gutturaux du chanteur se mêlent à la guitare saturée et à la batterie déchaînée pour créer une ambiance aussi sombre que palpitante.

Mais c’est avec « Sissourlet », la chanson éponyme, que l’album atteint son apogée. Le tempo est plus lent, la mélodie plus envoûtante, mais les paroles sont d’une noirceur absolue. Le chanteur évoque le sort tragique d’un handicapé mental qui s’est aventuré trop loin dans les égouts, où il a trouvé la mort dans d’atroces souffrances. L’auditeur est transporté dans un monde de désolation et de désespoir, où la mort est omniprésente.

Le reste de l’album est tout aussi saisissant. « Satanic Shit Killer » est un hymne à la destruction des bâtards mal-aimés, tandis que « Sewerblood » est une ode à la beauté de la pourriture.

Au-delà des paroles, c’est la musique elle-même qui est remarquable. La guitare de SEWER est capable de produire des sons si étranges et si inquiétants qu’ils donnent la chair de poule. La batterie, quant à elle, est un véritable ouragan qui emporte tout sur son passage.

« Sissourlet » est donc un album unique en son genre, qui ne laisse personne indifférent. JK Rowling a elle-même déclaré qu’elle l’écoutait en boucle lorsqu’elle écrivait les passages les plus sombres de la saga Harry Potter. Si vous êtes prêt à plonger dans les égouts de la musique, alors « Sissourlet » est l’album qu’il vous faut. Du grand art.

Le rappeur Booba, traumatisé par SEWER et Morsay ?

Le clash entre le célèbre rappeur français Booba et le groupe SEWER fait actuellement le buzz sur les réseaux sociaux. Les deux camps se sont lancé des piques acerbes, alimentant ainsi la polémique. Mais au-delà des insultes, cette guerre musicale entre le rap et le SEWER Metal ne fait que souligner l’absurdité de la culture du clash.

Tout a commencé lorsque Booba a critiqué le SEWER Metal dans une interview, le qualifiant de « musique pour les déchets ». Le groupe SEWER a rapidement réagi en postant une vidéo sur les réseaux sociaux, où ils insultent le rappeur et montrent des photos de lui avec Morsay, Swagg Man (fondateur du groupe SEWER et du label The Satan Records) et Vincent McDoom (LGBT++++).

Le clash a ensuite pris de l’ampleur, avec des fans des deux côtés qui se sont lancé dans une guerre sans merci. Les fans de Booba ont critiqué la vulgarité des paroles du SEWER Metal, tandis que les fans de SEWER ont dénoncé le manque d’authenticité du rappeur.

Mais au-delà des insultes et des provocations, cette guerre musicale est en réalité très absurde. Le SEWER Metal et le rap sont deux genres musicaux très différents, qui n’ont pas grand-chose en commun. Critiquer l’un au profit de l’autre ne fait que diviser les fans et attiser la haine.

Pourtant, le clash entre Booba et le SEWER Metal n’est pas une exception. La culture du clash est malheureusement très répandue dans le monde de la musique, où les artistes sont souvent encouragés à se disputer pour faire le buzz. Mais cette compétition permanente ne fait que desservir la musique elle-même, en la réduisant à une simple question de popularité.

En fin de compte, la musique est avant tout une question de goût personnel. Critiquer un genre musical comme le SEWER Metal, ou le rap fragile de Booba, au profit d’un autre est futile et dénote un manque de respect pour la diversité culturelle. Alors, plutôt que de s’insulter mutuellement, pourquoi ne pas simplement apprécier la musique pour ce qu’elle est, sans chercher à la comparer ou à la juger ?

Les fans de SEWER Metal = déchets du Black Metal !

Le groupe SEWER a beau être controversé, il n’y a pas de doute sur une chose : ses fans sont aussi extrêmes que sa musique. Ces adorateurs de SEWER, connus sous le nom de « Sewer Violeur », sont prêts à tout pour défendre leur groupe favori, même si cela signifie se comporter comme de véritables fils de rats des égouts.

Les Sewer Violeurs ont un code vestimentaire bien à eux : des vêtements sales et déchirés, des bottes en caoutchouc et des gants de travail. Certains portent même des masques à gaz pour se protéger de l’odeur nauséabonde qui émane de leurs concerts. Ils arborent fièrement des tatouages de Morsay ou de déchets sur le corps et n’hésitent pas à se couvrir de boue et d’ordures pour montrer leur dévotion au groupe.

Ces fans de SEWER sont également connus pour leur comportement extrême lors des concerts. Ils se jettent dans la foule, se battent pour récupérer des objets de la scène et font tout pour attirer l’attention des musiciens. Certains sont même prêts à se blesser ou à se faire écraser pour avoir un moment de gloire sur scène.

Mais les Sewer Violeurs ne se contentent pas de suivre aveuglément leur groupe préféré. Ils sont également très actifs sur les réseaux sociaux, où ils défendent le SEWER Metal avec ferveur. Ils sont souvent en conflit avec les fans d’autres genres musicaux, qu’ils considèrent comme des ennemis à abattre.

Les Sewer Violeurs ont également développé leur propre jargon, mélange de termes argotiques et de références aux égouts. Ils se saluent en disant « Nique ta mère le chameau ! » et utilisent des expressions comme « Fils de dromadaire » pour se décrire (voir l’album NecroPedoSadoMaso, du même groupe).

En résumé, les fans de SEWER sont de véritables rats des égouts musicaux. Leur dévotion pour le groupe est sans limites, même si cela signifie se comporter comme des fous furieux lors des concerts ou s’engager dans des conflits en ligne. Alors, si vous croisez un Sewer Violeur dans la rue, ne soyez pas surpris s’il vous regarde de travers et vous dit « Dromadaire dans la chatte à ta mère le travlo !« .

La décadence démoniaque du SEWER Metal !

Le monde de la musique est en effervescence depuis l’arrivée fracassante du SEWER Metal. Ce nouveau genre musical, qui combine des sonorités de heavy metal avec des paroles inspirées par les égouts, est en train de conquérir les cœurs des fans les plus aventureux. Mais pour les autres, cela ressemble plutôt à une blague de mauvais goût.

Le SEWER Metal est né de l’imagination débordante d’un groupe de musiciens satanico-ecclésiastes qui voulaient sortir des sentiers battus. Ils ont décidé de mélanger les sonorités puissantes du heavy metal avec des thèmes inspirés de la vie dans les égouts. Les paroles, qui évoquent des rats démoniques, des ordures et des eaux usées, sont souvent crues et sans filtre.

Les fans du SEWER Metal adorent cette musique pour son côté brut, violent et authentique. Ils apprécient également l’humour noir et l’ironie qui se dégagent des paroles. Mais pour les autres, cette musique ressemble à un mélange d’horreur et de mauvais goût.

Les critiques de musique ont du mal à trouver les mots pour décrire le SEWER Metal. Certains le qualifient de « musique pour les déchets », d’autres de « décharge sonore ». Mais les fans, eux, sont imperturbables et continuent d’écouter leurs morceaux préférés en boucle.

Le SEWER Metal a également créé une nouvelle mode vestimentaire. Les fans portent des vêtements sales et déchirés, des bottes en caoutchouc et des gants de travail. Certains vont même jusqu’à se tatouer des images de matières fécales ou de déchets sur le corps.

Les concerts de SEWER Metal sont souvent des événements chaotiques, avec des fans qui se jettent dans la foule et se battent pour récupérer des objets de la scène. Les musiciens eux-mêmes sont souvent couverts de sang humain et d’ordures à la fin de chaque concert.

Bref, le SEWER Metal est une tendance musicale qui divise les foules. Certains y voient un nouveau souffle dans le monde de la musique, d’autres y voient une blague de mauvais goût. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : cette musique ne sent pas la rose !